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 James Potter

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James Potter

James Potter

Messages : 36
Date d'inscription : 09/07/2009


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James Potter Vide
MessageSujet: James Potter   James Potter EmptyJeu 9 Juil - 17:40

En quelques mots


Nom : Potter

Prénom : James

Âge/Année : 16 ans / 6ème année

Maison : Gryffondor

Poste particulier : Joueur de Quidditch (Poursuiveur)

Physique : En regardant James Potter, la première chose que l’on pourra constater chez lui, sont en aucun doute ses indomptables cheveux noirs. Il semble tout bonnement impossible de les coiffer. Combien de peignes a-t-il du jeter jusque là ? Sans doute assez pour établir un record mondial. Il a donc depuis longtemps renoncé à tenter un semblant de coiffure et laissent ses cheveux à leur guise. C’est une tare héréditaire transmise depuis toujours chez les mâles Potter. Mais ce que James a compris depuis peu… c’est sans doute que ses cheveux ne sont finalement pas si horribles. Il s’agit là même d’une caractéristique qui fait de lui un des êtres les plus charmants de la gente masculine (du moins, le croit-il). Il passe et repasse éternellement sa main dans sa tignasse pour paraître encore plus décoiffé qu’il ne l’est habituellement. Chose tout à fait inutile, certes. (D'accord, pas si charmant que ça pour le coup). Outre ses cheveux impossibles, on pourra noter de pétillants yeux noisette qui arborent généralement une lueur malicieuse lorsque le Gryffondor manigance on ne sait trop quel méfait (ouais bon, en fait il a toujours l'air de manigancer quelque chose). Mais son visage angélique ne peut que convaincre les gens de son innocence la plus totale Rolling Eyes

En plus de lignes


Caractère : James Potter est un Gryffondor. Un pur Gryffondor. Le genre de Gryffondor totalement hardcore... Ce specimen courant se caractérise par un courage qui résulte principalement d'un manque de réflexion et du verrouillage d'une partie du cerveau appelée "Raison". Ce verrouillage partiel nuit également à la loquacité du personnage dont les paroles plus insolentes les unes que les autres sortent de sa bouche sans avoir été nullement réfléchies auparavant. Autre caractéristique habituelle du spécimen Gryffondor : la loyauté, sentiment niaiseux qui descend directement d'une éthique plus élevée que la moyenne (parce que poignarder les gens dans le dos, ça se fait pas... paraît-il : et puis le meurtre est puni par la loi). Éthique, qui cela dit, n'a visiblement pas un lien très solide avec la bonne conscience de James parce que collectionner les infractions au règlement est l'une de ses plus grandes préoccupations dans la vie. Et puis, si lui et les autres Maraudeurs n'étaient pas là pour le faire, qui le ferait ? Chaque humain a un rôle dans la vie, et ne pas le respecter serait un crime (exemple : celui de Servilus était d'avoir les cheveux gras et d'aimer le poulet frites sans gras). Comme tout Potter qui se respecte (il en était ainsi pour son père, son grand-père, sans doute pour feu son arrière-grand-père aussi, et il en sera ainsi pour son fils), son talent pour se mettre dans le pétrin dépasse l'entendement. Parce que 'Potter' et 'problème' sont deux mots couramment associés ensembles. Et à défaut de voir les ennuis venir à lui, il vient à eux. Le problème n'étant pas le manque d'intelligence chez James, mais plutôt la mauvaise utilisation de cette dernière combiné à un manque de discernement (entre ce qui est à faire et ce qui n'est pas à faire... de toute évidence, balancer le chat du concierge dans le lac pour faire mumuse avec le Calmar Géant n'est pas à faire). Son intelligence (non utilisée à bon escient), et son physique plus ou moins avantageux (les cheveux en moins) sont le fruit d'une incroyable arrogance, d'un ego démesuré et d'une insolence qui l'est tout autant. Et s'il y a autre chose derrière ses chevilles honorablement enflées c'est seulement une vivacité à toute épreuve, beaucoup de puérilité, une joie de vivre qui vous donne envie de le taper dans vos mauvais jours (parce qu'il ne se tait jamais, à croire).

Histoire : James Potter naquit à Godric’s Hollow un jour de 1960 dans la demeure familiale des Potter. Fils unique, il fut choyé par ses parents et élevé dans un cadre aimant et chaleureux. Les Potter formaient une famille respectée et aisée dans le monde de la sorcellerie. Aussi fut-il éduqué en tant que tel, bien que l’on pourrait se demander si Poudlard n’avait pas affecté ses bonnes manières. Enfant quelque peu turbulent de plus, il passa le plus clair de son enfance à faire les quatre cents coups. Habitude qui ne changea pas le moins du monde à Poudlard.
Ce fut au cours de sa onzième année qu’il reçut sa lettre de Poudlard, peu avant la rentrée comme la tradition l’exige. Il rejoignit l’école de sorcellerie avec l’enthousiasme commun à tous les gamins de son âge. La première fois qu’il vit Poudlard, il songea à tous les bons moments qu’il passerait par la suite. La première fois que Poudlard le vit, on se dit que le château venait de perdre ses derniers instants de tranquilité.
James fit la connaissance de Sirius, Remus et Peter au cours de sa première année. Les quatre garçons se lièrent rapidement d’amitié. Au cours de ses années à Poudlard, ils enchaînèrent ensemble coups foireux sur coups foireux, réunissant à eux quatre autant de retenues que l’ensemble des élèves de leur promotion et désespérant au plus haut point le corps enseignant qui renonça rapidement à leur inculquer une quelconque notion de règlement. Ce ne fut que lors de leur deuxième année que James, Sirius et Peter découvrirent la lycanthropie de Remus. Loin de s’en formaliser, ils soutinrent leur compère et commencèrent à étudier de près son cas. Ils eurent donc recours à un moyen assez extrême pour aider leur ami lycanthrope et en vinrent à travailler la métamorphose avec une certaine intensité. Ce ne fut qu’au bout de plusieurs années qu’ils parvinrent à maîtriser leur forme d’animagus et ce, au bout prix d’immenses efforts. Le souvenir de bois difformes restés trois jours sur sa tête (humaine) restait encore assez poignant dans l’esprit de James qui ne manquait pas de se regarder dans le miroir après chaque fin de transformation histoire de vérifier que ses bois avaient bel et bien disparus. Son surnom devint alors rapidement Cornedrue bien qu’il persiste souvent à dire que ses bois étaient des bois et non des cornes. Et ce fut le début d'une longue série d'escapades nocturnes au nez et à la barbe de tous.
Rejoignant son aversion pour les règlements, l'humiliation des Serpentards, parfois de manière assez déplaisante et peut-être même cruelle certes, était l'une de ses mauvaises habitudes dont il ne se lassait pas après tout. Mais c’est qu’ils le lui rendaient bien… Servilus, sa victime officielle et désignée. Le Gryffondor ne pouvait tout simplement pas s’empêcher de lui chercher des crasses dès que ce dernier se trouvait dans les parages. Quelle était l’expression ? Ah oui. Il ne pouvait pas le blairer. Oui, tout à fait. Et c’était sans aucun doute réciproque. Une chose l’agaçait énormément. Encore plus que les cheveux gras de Servilus. Mais tout simplement le fait que cette rouquine de préfète ne cessait de défendre cette chose avec des cheveux gras qu'on ne pouvait pas décemment qualifier d'humaine. C’était tout bonnement une attitude qu’il ne pouvait pas comprendre. Voyez-vous, selon lui, tout le monde était supposé rire et admirer le moindre de ses faits et gestes. Et non lui hurler dessus jusqu’à ce que mort s’en suive. Il ne comptait plus les multiples engueulades : et par ‘engueulade’, entendons bien que ce n’était pas lui qui hurlait à la mort. Et c'était devenu plus alarmant depuis sa quatrième année...
Lily Evans, de son nom (avouez que vous ne le saviez pas…). Elle avait une de ces manies de le rendre complètement marteau. C’est-à-dire que depuis la première année, ce n’était pas toujours la grande joie, voyez-vous. Lors de sa première année, il s’était simplement dit qu’elle était un peu trop sérieuse. Lors de sa deuxième année, elle était devenue « la rouquine qui gueulait au moins aussi fort qu'Hagrid ». Lors de sa troisième année elle était devenue « Evans, j'te jure que c'était pas moi ! ». Et lors de sa quatrième année, elle était devenue la rouquine la plus intéressante de la planète. Que s’était-il passé d’une année à une autre ? Bah, les hormones, l'adolescence, un penchant pour le masochisme, une fascination pour les rouquines et beaucoup de facteurs exogènes (du genre, vous saviez qu'elle avait une chouette ? Ca tombait bien, lui aussi. Si c'est pas le destin ça !). Nan mais c'était une question de complémentarité... elle était sérieuse ? Ca tombait bien, il ne l'était pas. Elle était préfète ? Il était Maraudeur. Vous voyez ? Complémentarité, vous dis-je. (Et si ce raisonnement était tout sauf un raisonnement... James Potter ne raisonnait pas d'abord). Et si ce n'était pas Evans, ce n'était pas drôle. A défaut de l'ignorer, elle lui hurlait littéralement dessus pour un ‘oui’ ou pour un ‘non’ (parfois les deux aussi). Des fois qu’il aurait voulu lui emprunter une simple plume, il n’était pas sûr qu’elle aurait réagi autrement. Non vraiment… il ne voyait pas du tout le pourquoi du comment… ce n’était pas vraiment comme s’il faisait quoi que ce soit pour l’embêter… Et puis au fond, il était sûr qu’elle l’aimait bien. Elle ne s’en rendait pas compte, c’est tout.
Côté étude, il n’y avait pas grand-chose à dire. Si la moitié du temps, il passait son temps à chahuter avec Sirius, l’autre moitié du temps il la passait à dormir. Si Remus prenait régulièrement les cours, James, à défaut de notes écrites, prétendait souvent ‘noter mentalement’. Inutile de vous dire qu’il devait ensuite supplier son ami de daigner lui prêter ses notes. Car même en ayant d’excellents résultats sans vraiment travailler, il y avait tout de même un minimum requis : à savoir lire le cours et savoir de quoi il en retourne. Il révisait donc parfois la nuit quand personne ne pouvait le voir. Réputation exige quoi… Si Snivellus excellait dans le domaine des potions (à son plus grand dégoût d’ailleurs) lui maîtrisait parfaitement bien la métamorphose : on est pas animagus à quinze ans pour rien. Mais de là à dire qu'il était un élève assidu...
A ‘excellent élève pas du tout prétentieux’ il fallait également ajouter ‘excellent joueur de Quidditch encore moins prétentieux’. Assez jeune, il s’était découvert une véritable passion pour ce sport typiquement sorcier. Il bénissait littéralement le Quidditch. Et d’ailleurs… s’il y avait bien une chose qu’il ne pouvait pas comprendre chez les moldus, c’était comment pouvaient-ils oser souiller cet objet divin qu’était le balai en le transférant à un vulgaire rôle d’objet ménager. Il prenait tout simplement cela comme un sacrilège. Non mais c’est vrai quoi… oser traîner l'objet sacré sur un sol poussiéreux et crasseux... on aura tout vu. Bref... Aussi faisait-il parti de l’équipe de Quidditch de Gryffondor depuis plusieurs années déjà. Il y occupait un des trois postes de poursuiveurs [et non d’attrapeur…] et en était évidemment plus que fier. Son balai dernier cri était régulièrement ciré et lustré comme pour prouver qu’il méritait bel et bien ce poste et que son balai était le plus impeccable de tous. Il était d’ailleurs assez étonnant de voir que c’était un des seuls objets dont il prenait régulièrement soin en voyant son sens du rangement.
Et voilà qu’il s’apprêtait à entamer une sixième année à Poudlard : blagues puériles et stupides au rendez-vous, un peu plus de claques typiques de la rouquine et un peu plus de Snivellus la tête dans la cuvette…


That's the way I like it


Passions : Les passions de James ? ...on pourrait dire qu'elles sont nombreuses. C'est qu'il est du genre vachement passionné, vous savez ? Pour commencer... pourrir la vie des Serpentards requiert un temps fou. Activité très en vogue et florissante chez les jeunes Gryffondors de nos jours. Il n'y a pas encore de club officiel, mais ça ne saurait tarder... C'est bien tout ça, pour s'occuper le dimanche... (et le reste de la semaine aussi). Et puis ça développe vachement les capacités mentales de choisir la future couleur des sous-vêtements de Servilus (quoique, l'actuelle couleur lui sied déjà assez bien le teint). Mais de toute évidence, il a d'autres préoccupations super existentielles dans sa vie, hein ? Genre... aller courtiser Evans. Activité également très prenante qui nécessite une certaine résistance physique (et mentale). Et beaucoup de culot et de persistance aussi. Et enfin, le dernier mais pas le moindre : le Quidditch. Il ne jure que par le Quidditch. Le Quidditch c'est la vie, et la vie c'est le Quidditch. En fait, alors qu'il était qu'un tout petit embryon dans le vendre de Mrs Potter, il était déjà destiné à être joueur de Quidditch. Si ça se trouve, il était né avec un souaffle entre les mains, mais ses parents avaient conspirés ensemble pour le lui cacher.

Projets d'avenir: Projets d'avenir... intégrer l'équipe nationale de Quidditch ? Enfin seulement à temps partiel... en tant qu'être supérieur intellectuellement, physiquement, et en fait supérieur en tout point (aussi au niveau des chevilles), il se doit de sauver le monde ! Et donc de devenir le brillant auror qui fera la couverture de tous les journaux. Noble motivation, n'est-ce pas ? Et puis accessoirement, c'est aussi parce qu'Evans doit sans doute vouloir devenir auror... hem, mais c'est d'abord pour sauver le monde et tout, hein ? Quoique, si elle veut devenir médicomage, sauver le monde en sauvant des vies, ça compte aussi, vous savez ? Enfin, dans tout ça, il lui faut aussi le temps d'avoir six gosses : pour constituer une équipe de Quidditch. Treize, si possible, pour faire deux équipes de Quidditch. Et devenir pété de tunes pour construire un terrain de Quidditch dans son jardin.

Phobies : Des phobies ? Des phobies ?! James Potter n'a peur de rien ! (A part les cafsouris) Non, mais vraiment... des phobies...


Vous?


Nom : --
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Où avez-vous connu le forum? --
Un petit mot pour la fin? --

Vous avez bien lu le règlement? Prouvez-le! --
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James Potter

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